Les étiquettes, des pense-bêtes utiles au jardinier
Notez sur l'étiquette, au minimum, le nom de la plante et de sa variété. Mémoriser ainsi l'identité de la plante vous aidera à trouver plus facilement des informations la concernant.
Vous pouvez y ajouter la date de plantation, la couleur des fleurs et sa hauteur.
Pour certaines plantes comme les tulipes ou les iris par exemple, il peut être utile d'indiquer si elles sont "hâtives", mi-hâtives, "tardives", etc….
Pour écrire de manière durable sur les étiquettes, personnellement j'ai testé les bandes autocollantes avec une mini-imprimante spéciale (photo ci-dessus) qui donnent de très bons résultats dans le temps. Cependant on peut reprocher à ce type de marquage d'être un peu trop luxueux (prix de revient).
Vous pouvez choisir des supports moins onéreux voire gratuits en utilisant des étiquettes découpées dans des pots de yaourt, constituées de morceaux de cagettes ou de boîte de camembert,... sur lesquels vous pouvez utiliser un simple crayon à papier HB dont l'écriture résiste longtemps aux intempéries, au soleil comme aux rayons lunaires.
Les étiquettes permettent de repérer l'emplacement des plantes vivaces dont la partie aérienne disparaît pendant l'hiver. Cela vous évitera lors des binages d'endommager vos plantes.
Ici, c'est sur de l'ardoise que sont indiqués au marqueur blanc le nom du Rosier,
celui de son obtenteur, de son type et la date de plantation.
Cuillère à café détournée en étiquette
Petits pots en terre cuite font ici office d'étiquettes
Étiquette fantaisie en métal blanc
Étiquette en plexiglas transparent et étiquette en plastique jaune à ficher
L'humour du jardinier peut aussi s'exprimer pour amuser le visiteur !
Dernière mise à jour le 15 août 2017